Entre le Malandain Ballet Biarritz et le Ballet T de Donostia Kultura, on s’apprécie, on s’aide, et les résultats sont visibles.
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Ainsi samedi 8 et dimanche 9 novembre, la troupe présentera en première mondiale deux créations : « Estro » et « Nocturnes » au Théâtre Victoria Eugenia de la capitale du Guipúzcoa.
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Ce qu’il faut savoir…
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Mois après mois, les pièces du puzzle se mettent en place, dans le but de réussir l’événement phare de l’année 2016, faisant de Saint-Sébastien la capitale européenne de la culture.
Ce n’est donc pas la première fois que la troupe de Thierry Malandain s’y produit.
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Les amateurs de ballets habitant de l’autre côté de la Bidassoa avaient déjà pu l’apprécier et l’applaudir sur « L’après midi d’un faune » (inspiré d’un poème de Stéphane Mallarmé, « Le spectre de la rose » ou « La dernière chanson », sur les notes du Poème harmonique de Vincent Dumestre.
Sans oublier une remarquable prestation de « Roméo et Juliette » sur une musique d’Hector Berlioz.
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Preuve que le rendez-vous basque est d’importance, Thierry a décidé d’y présenter en première mondiale sa dernière création, dénommée « Estro », inspirée des pages du « Stabat Mater » et sur l’ « Estro armonico Op.3 » d’Antonio Vivaldi, une partition qualifiée de « survitaminée », d’où son appellation d’est-ce-trop, ou Estro. Pas plus compliqué.
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Elle sera suivie de « Nocturnes », musique de Chopin (bravo, vous suivez) évoquant les langueurs de l’amour qui selon Thierry Malandain se présentent « comme une fresque, comme un songe écrasé sous le poids d’une éternelle mélancolie. »
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Petite info spéciale PresseLib’ : les répétitions seront ouvertes au public le 7 novembre, sur invitation, à retirer au guichet du théâtre. Autant en profiter !
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