Les Français, qui ont adopté Capbreton pour se préparer (ils reviendront avant le Mondial), sont prévenus, les Italiens rêvent de les faire tomber à Rome. Mais la bande à Dupont reste assoiffée de victoires et voudra frapper fort d’entrée, avant d’aller en Irlande pour une finale avant l’heure.
Fabien Galthié a dévoilé ses choix. La surprise vient du Lyonnais Dumortier, titularisé à l’aile, du Castrai Barlot (talonneur), du Rochelais Lavault (2e ligne) et du Francilien Le Garrec (demi de mêlé) sur le banc.
Le XV de départ : Ramos (Toulouse) – Penaud (Clermont), Fickou (Racing), Moefana (Bordeaux), Dumortier (Lyon) - Ntamack (Toulouse), Dupont (Toulouse - cap) ; Ollivon (Toulon), Alldritt (La Rochelle), Jelonch (Toulouse) – Willemse (Montpellier), Flament (Toulouse) – Atonio (La Rochelle), Marchand (Toulouse), Baille (Toulouse).
Les remplaçants : Barlot (Castres), Wardi (La Rochelle), Falatea (Bordeaux), Taofifenua (Lyon), Lavault (La Rochelle), Macalou (Stade Français), Le Garrec (Racing), Jalibert (Bordeaux)
C’est Toulouse qui fournit le plus de joueurs (7, tous titulaires), devant La Rochelle (4) et Bordeaux (3).
Six Bleus sont originaires du bassin de l’Adour : Dupont, Marchand et Baille (Bigorre), Alldritt et Jelonch (Gers) et Ollivon (Pays Basque).
Au programme des Bleus : Italie-France, dimanche 5 février (16h) ; Irlande-France, samedi 11 février (15h15) ; France-Ecosse, dimanche 26 février (16h) ; Angleterre-France, samedi 11 mars (17h45) ; France-Pays de Galles, samedi 18 mars (15h45).
Programme de la 1ère journée
Samedi 4 février : Galles-Irlande (15h15) et Angleterre-Ecosse (17h45).
Dimanche 5 février : Italie-France (16h)
Les Bleuets se sont fait peur en Italie (27-28)…
La Squadra Azzura des moins de 20 ans a montré le nouveau visage du rugby transalpin : un signal d’alerte pour les Bleus avant la confrontation de dimanche.
Il s’en est fallu d’un rien. Les jeunes Italiens sont passé tout près d’une victoire historique face aux Bleuets. La jeune classe française a été bousculée. Menée une bonne partie de la rencontre, elle n’a dû sa victoire qu’à la faillite de la botte italienne.
Les Français ont encaissé 5 essais, dont le dernier dans le temps additionnel. La transformation, qui a frôlé le poteau, aurait pu envoyer les transalpins au paradis.
Les Bleuets ont tremblé mais ils ont fait preuve de courage et de tempérament. Ils s’en sont sortis grâce à une défense de fer, mais ils vont devoir hisser leur niveau pour le voyage en Irlande.
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