Abonnez-vous
Publié le

Entreprise d’iciOctime progresse encore et chasse les talents

Les revenus de l’éditeur béarnais de solutions de planification des ressources humaines, établi depuis 3 ans à Biron, devraient encore augmenter de 10% cette année...
OCTIME 3
Reprise et rebaptisée en 2008 par Guillaume Berbinau, Octime a dopé sa croissance en acquérant les sociétés Spec en 2015, Mapotempo en 2017 et HR Maps l’an dernier. Et tandis qu’elle maintient sa progression à deux chiffres, elle cherche à attirer de nouvelles recrues.

Son chiffre d’affaires avait déjà gonflé de 10% l’an dernier, de même que son portefeuille de clients, garni de 500 nouveaux noms de tous horizons. Et bien il en ira de même en 2019 pour Octime.

L’éditeur béarnais continue visiblement de capitaliser sur son positionnement de généraliste des solutions RH, celui d’un acteur qui ne se cantonne plus depuis un moment à la seule planification du temps de travail, aidé en cela par les 3 acquisitions stratégiques réalisées ces dernières années.

En 2015, Octime s’était payé l’espagnol Spec, qui opérait sur le même créneau que lui mais lui a ouvert les portes de marchés comme l’Afrique, l’Amérique latine, le Portugal ou le Moyen-Orient, avec au passage un doublement de son chiffre d’affaires.

Il y a deux ans, 3 mois après son installation à proximité de l’échangeur d’Orthez-Biron, l’entreprise avait acquis la startup Mapotempo, cette fois spécialisée dans l’optimisation de tournées et retenue pour son expertise en planification sous contraintes. Octime y avait vu un moyen d’étendre son périmètre fonctionnel et de se distinguer de la concurrence.

Une enquête Syntec faisait alors de l’éditeur un des 10 principaux acteurs français présents sur le marché du logiciel RH.

Des recrutements à tour de bras et un nouveau bâtiment…

Il y a tout juste un an, enfin, Octime rachetait HR Maps et son portail d’évaluation, de recrutement, de formation et de gestion des talents. Nouveaux clients, nouveaux marchés, nouvelles solutions : ce joli coup devait logiquement continuer de nourrir la croissance de l’entreprise bironnaise.

Comme celle-ci le prévoyait, elle restera bien sur son rythme à deux chiffres en 2019. Un résultat qui devrait lui faire franchir la barre des 25 à 26 millions d’euros de chiffre d’affaires en fin d’année. On n’en attendait pas moins de cette dynamique société employant désormais 200 salariés, pour pas loin de deux milliers de clients dans une cinquantaine de pays, soit un total d’environ 5 millions de salariés suivis dans le monde grâce à ses solutions.

Parmi ces derniers, se dénombreraient pas moins d’un million d’employés français. Ne manquerait plus qu’une corde à l’arc d’Octime : la gestion des paies, qui pourrait à moyen terme faire l’objet d’une nouvelle acquisition. Affaire à suivre…

Bien entendu, une telle croissance ne se nourrit pas que de belles acquisitions : elle s’alimente aussi avec de nouveaux talents et personnels qualifiés, ce dont un éditeur de logiciels RH ne peut évidemment manquer de se rendre compte. En ce moment, Octime recrute par exemple une demi-douzaine de chefs de projets pour accompagner ses nombreux clients dans leurs déploiements.

Et pour réussir à attirer et à garder ses talents, la société se propose de répondre à leur quête de sens avec un engagement RSE très concret, fait de déplacements limités, de politique zéro papier, de recyclage des badgeuses et de dispositifs de télétravail.

Formateurs et consultants, ingénieurs commerciaux, développeurs, juristes : Octime a déjà recruté à tour de bras cette année. Et l’on dirait bien que ce n’est pas près de s’arrêter… D’où la décision de Guillaume Berbinau de lancer la construction d’un nouveau bâtiment, sur une parcelle voisine acquise avec le soutien de la Communauté de communes de Lacq-Orthez. Histoire de faire face à l’augmentation du nombre de collaborateurs, mais aussi d’accueillir éventuellement des start-ups partenaires.

Pour mieux connaître l’entreprise, rendez-vous sur octime.com

Recrutements – cliquez ici

Commentaires


Réagissez à cet article

Vous devez être connecté(e) pour poster un commentaire

À lire aussi