Depuis mi-décembre, des abattages préventifs ont été décidés pour tenter d’enrayer cette épyzootie avec un H5N1 particulièrement virulent. Pour rappel, la filière a déjà subi plusieurs épidémies avec des conséquences particulièrement lourdes. En 2019, 3,5 millions de canards avaient été abattus dans la région.
De nombreuses zones de surveillance et de protection ont été mises en place sur le bassin de l’Adour, avec notamment une interdiction des mouvements de volaille.
Il faut savoir que la consommation de viande, foie gras et œufs (et plus généralement tout produit alimentaire à base de volailles) ne présente aucun risque pour les humains.
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