D’accord. Mars 2016, c’est loin. Et d’ici là, bien des choses peuvent survenir. On peut déménager, perdre le goût, préférer tout d’un coup le cha-cha-cha au rock. Et puis notre Johnny national se mettre à la valse à trois temps ou chanter La Paimpolaise.
Si aucune de ces possibilités n’arrive, il y a toutes les chances pour que nous nous retrouvions, nous, vous, et Jojo le 16 mars prochain, dès 20h, au Zénith. De Pau, le seul, le vrai !
Ce qu’il faut savoir…
Johnny en scène, on en a pour son argent. Tant mieux d’ailleurs, puisque les places sont annoncées à 42 euros pour les moins chères (ce que l’on appelle « la fosse », c’est-à-dire la cuve à populace), à 150 euros pour les mieux situées, ce qui ne se trouve pas sous les sabots d’un cheval.
Depuis toujours, du moins depuis le début des années soixante, le rocker donne tout sur scène. Ca hurle, ça bouge, ça se met en sueur. Et heureusement ça chante. Assister à un spectacle de Johnny, qu’on aime l’animal ou pas, reste toujours un grand moment.
Au fait, elle va chanter quoi, l’idole des plus jeunes ? Comme d’habitude, un vaste envol sur ses cinquante ans de carrière, avec les incontournables « Que je t’aime », « J’ai oublié de vivre », « Ma gueule », « Quelque chose de Tennessee » (qui n’a rien à voir avec l’Etat éponyme), « Laura » et terminera comme d’habitude par « Allumer le feu ». Y aura-t-il d’ici mars un nouvel album, faisant suite à son 49e produit jusqu’alors, « Rester vivant » ? On en doute.
Les amateurs de statistiques apprendront avec plaisir qu’il s’agira l’an prochain de sa 185e tournée (à la tienne !), ils se souviendront que l’idole s’était déjà produite à Pau, en décembre 2012 et sauront certainement qu’il sera la vedette du Big Festival, mené par Seb Farran, en juillet prochain à Biarritz.
Tout, tout, tout, vous savez tout sur le Johnny.
En attendant, les réservations sont ouvertes au Zénith de Pau.
Réagissez à cet article
Vous devez être connecté(e) pour poster un commentaire