L’Elan a 10 jours ouvrables pour faire appel devant la Fédération française. Les Américains « miracles », sélectionnés par le maire de Pau pour leur vendre le club béarnais (il y a seulement un an), ont visiblement jeté l’éponge.
Il revient donc clairement à la collectivité locale de rattraper son erreur, aux conséquences très lourdes. D'autant plus que cette "vente" (800.000 euros) n'a toujours pas été réglée par CounterPointe. D'une manière ou d'une autre, la Ville de Pau se doit de tout faire pour éviter la disparition de ce monument du basket français.
Reste à trouver des repreneurs potentiels pour tenter de rebondir positivement. Mais, ce ne sera pas simple tant le doute s’est installé dans l’esprit de la plupart des partenaires et des autres actionnaires de l’Elan, mais aussi dans la tête de nombreux supporters.
On a parlé d’un nouveau fonds d’investissement, cette fois franco-luxembourgeois, et d’un industriel lorrain, Sylvain Bonnet. Il est maintenant question de Sébastien Ménard, patron de Eat 4 Good. La prudence s'impose !
On sera très vite fixé.
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