Désormais, Diplodocus est sous la bannière de la SAS Alternative, une société orthézienne qui produit notamment les vêtements Thalassa, licence de France Télévision. Sa reprise, en 2017, a permis à la marque fondée par François Vernières de se relever d'une terrible crise, durant laquelle les produits n'étaient plus vendus en boutique, et qui emmenait doucement la marque vers une liquidation certaine.
L'affaire est pratiquement repartie de zéro. Cette seconde vie a été bien orchestrée puisque, petit à petit, la marque de prêt-à-porter revient sur le devant de la scène. En effet, actuellement, ce sont plus de 130 boutiques qui proposent des vêtements Diplodocus. Un chiffre qui devrait significativement augmenter dans les mois à venir, jusqu’à 170 sites.
Cette reprise peut s'expliquer par l'ADN insufflé dans cette entreprise, qui reste celui de départ. François Vernières, styliste parisien qui avait lancé l'affaire, fait toujours partie de l'équipe design, et continue de porter l'esprit Diplodocus.
Un autre point clé de la marque, ce sont ses engagements. En effet, toutes les matières utilisées sont exclusivement naturelles : coton, laine, lin, cachemire, etc. En plus de respecter la nature, la marque propose des gammes avec lesquelles les clientes se sentent à l'aise, peu importe la coupe du vêtement ou la morphologie de la personne. Un bien-être total est recherché.
Tous ces éléments font de Diplodocus une marque en quelque sorte intemporelle, qui se transmet de génération en génération, mais toujours en s'inscrivant parfaitement dans l'ère actuelle. Ainsi, depuis 2018, la marque propose sur son site internet de la vente en ligne. Un mode de fonctionnement qui explose depuis près d'un an, la faute aux confinements et à la crise sanitaire.
Après une collection automne/hiver réussie, avec près de 90 références, Diplodocus a préparé une ligne printemps/été plus que jamais d'actualité pour l'année 2021. Les quelque 120 articles différents de la collection se pareront d’une multitude de couleurs, plus chaleureuses les unes que les autres, histoire de nous rappeler le soleil, les îles, le voyage.
Une idée qui est venue lors du premier confinement, quand une très grande majorité de Français rêvait d'ailleurs, de s’évader loin de cette crise qui pointait alors le bout de son nez.
Le concept fait mouche puisque l'intégralité de la collection est déjà vendue.
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