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Ils parlent de leur expérience Grand Dax Managers

Deux gestionnaires d’entreprises, aux profils très différents, ont suivi le cycle de formation proposé par Pulseo. Ils disent en avoir retiré de grands bénéfices...
Pulseo GRAND DAX MANAGER 0
Les formations, ce sont encore ceux qui les ont suivies qui en parlent le mieux. Petit entretien croisé avec Guillaume Lauqué, DG des Transports Lauqué de Saint-Sever, et Mireille Jennequin, thérapeute et cogérante du centre de bien-être AquaRel-c4mj de Saint-Vincent-de-Tyrosse.

Pouvez-vous nous présenter brièvement les entreprises que vous dirigez ?

Guillaume Lauqué - Le groupe Lauqué est basé à Saint-Sever, au cœur de l’important bassin agro-alimentaire du Sud-Ouest. Nous opérons dans le transport en température dirigée pour les acteurs locaux, dans tout le grand Sud-Ouest et vers Paris. Le groupe a été créé il y a 40 ans par mon père. Il emploie aujourd’hui 140 personnes et réalise un chiffre d’affaires de 16 M€.

Mireille Jennequin - Mon mari et moi gérons le centre AquaRel-c4mj de Saint-Vincent-de-Tyrosse, avec l’appui de deux vacataires maîtres-nageurs et d’une diététicienne. Nous proposons une prise en charge globale intégrant les dimensions physique, sportive et en lien avec le bien-être. Nous sommes aujourd’hui bien connus en tant que piscine où l’on peut pratiquer des sports aquatiques et apprendre la natation, et souhaitions développer la partie « thérapeutique » de notre activité, dans le cadre de laquelle je traite des personnes atteintes de troubles anxieux, principalement en ligne.

Qu’est-ce qui vous a initialement poussé à suivre cette formation Grand Dax Managers ?

G. L. - J’ai d’abord été séduit par ce principe de formation mêlant les différents métiers, dispensée par et pour les chefs d’entreprise. L’idée était aussi de sortir un peu du seul contexte de la société que je dirige, de couper un peu avec le quotidien de sa gestion et finalement de se sentir un peu moins seul face à des problématiques largement partagées.

M. J. - Nous avions déjà été confrontés aux difficultés de la création d’entreprise et ce programme était en parfaite adéquation avec mes aspirations. Disposant d’une maîtrise de psychologie, je n’avais pas vraiment acquis cette culture de l’entreprise et n’était pas familiarisée avec des spécialités comme le marketing, le commerce ou la comptabilité. La formation, très concrète et dont on perçoit dès le début les bénéfices, permettait de toucher à tous ces domaines en même temps.

Avec le recul, quels ont été les principaux apports de cette formation pour vous, dans le contexte de la gestion quotidienne de vos entreprises respectives ? Plutôt théoriques ou pratiques ?

G. L. - Les deux volets ont été très utiles et clairement, l’un ne va pas sans l’autre. Du point de vue de l’apport de la formation, j’ai pu constater à quel point les participants étaient confrontés aux mêmes soucis et blocages. Cela m’a permis de rompre avec une forme d’isolement. Sur le fond, cet apport ne s’est pas limité à un domaine précis. Il a été plus général : j’ai pu prendre de la hauteur et apprendre des choses que je n’avais pas forcément intégrées à l’issue de ma formation initiale (Guillaume Lauqué est diplômé d’une école de commerce, NDLR). Je pense finalement y avoir beaucoup gagné en efficacité. J’ai d’ailleurs invité une collaboratrice à suivre le cycle qui a débuté en septembre dernier. Il n’est pas exclu que l’on reproduise par la suite l’expérience.

M. J. - Au-delà des indispensables connaissances techniques acquises, j’en retiens l’apport psychologique et la confiance que la formation m’a permis d’engranger. J’ai pu grandir au fil de ces deux ans, et par exemple dépasser une certaine timidité qui m’empêchait de bien m’exprimer en public. Et je suis évidemment un peu plus à l’aise quand je parle avec mon comptable ! À l’arrivée, on peut parler d’une expérience humaine très enrichissante.

Vous avez éprouvé le besoin de créer une association pour continuer de vous réunir…

G. L. - Oui. L’intérêt était bien sûr de pérenniser cette démarche visant à se réunir ponctuellement pour échanger, toujours dans cette logique de « sortir de chez soi ». Mais il s’agissait aussi de commencer à constituer un réseau d’anciens.

M. J. - Cela nous permet de nous revoir et d’entretenir ce réseau que la formation a permis de créer. Il est certes encore récent mais s’enrichira au fil des années. C’était assez naturel, puisque si cette formation nous apprend bien une chose, c’est qu’il est aujourd’hui très difficile d’entreprendre quoi que ce soit tout seul. Personnellement, je ne comptais pas forcément beaucoup d’entrepreneurs et/ou de dirigeants d’entreprises parmi mes connaissances, et c’est évidemment un plus.

Plus d’informations sur le site internet – cliquez ici

 

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