Leur démarche est radicalement différente de celle du fonds d’investissement américain, largement lié à des opérations immobilières autour du Palais des Sports (pour lire notre article, c’est ici).
Thomas Darnauzan, chef d’entreprise dans l’immobilier, et Simon, restaurateur, tous deux basés à Bordeaux, prévoient une relance du club avec notamment un ancrage territorial encore plus affirmé, une formation renforcée et une collaboration étroite avec les partenaires. Les deux frères comptent aussi mobiliser les anciens de l’Elan Béarnais autour d’une nouvelle étape de ce club historique. Pour le moment la Ville de Pau privilégie la piste américaine, mais sait-on jamais…
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