« Il y a encore un mois, l’argument d’un simple ralentissement tarifaire saisonnier pouvait encore s’entendre. Aujourd’hui, il n’est plus possible d’en douter : la baisse des prix dans
les dix principales métropoles françaises s’est réellement enclenchée » précise le site.
Désormais, elles sont huit à avoir basculé en territoire négatif. « Alors que Lille et Marseille demeurent au vert avec respectivement +0,7% et +0,8% d’augmentation durant les trente derniers jours, les villes du Top 10 voient leurs tarifs reculer de -0,1%. Du jamais vu depuis 2015 ! »
Les plus impactées sont Rennes et Strasbourg (-1%), devant Bordeaux (-0,9%), Montpellier (-0,6%), Paris (-0,5%), Toulouse (-0,4%), Lyon et Nice (-0,3%), Nantes (-0,1%).
« Bordeaux a longtemps été une agglomération en avance de phase. Pour mémoire, à l’époque où les prix commençaient tout juste à remonter, c’est elle qui a enregistré le plus rapidement les plus fortes hausses. Or, c’est elle aussi qui connaît aujourd’hui le recul le plus marqué (-2,4% depuis janvier). »
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