Depuis le départ, c’est un projet réjouissant, car il réunit des énergies, des compétences et des ambitions sur un marché exigeant mais plein de perspectives : la fabrication additive, autrement appelée « impression 3D », une dénomination héritée du début des années 2010, lorsqu’on tablait avant tout sur l’essor de cette technologie auprès du grand public.
Les principaux brevets associés, déposés dans les années 80, sont entrés dans le domaine public au début des années 2010. Aujourd’hui, plus de 10 ans plus tard, les débouchés de la technologie sont plutôt à rechercher dans l’industrie, dans le secteur médical ou dans le domaine éducatif au sens large, notamment à travers « fablabs » et autres plateformes communautaires.
Lynxter va donc accélérer ses ambitions, grâce à la confiance de nombreux partenaires financiers (Groupe Etchart, Naco, Pyrénées Gascogne Développement, Herrikoa) et industriels (Airbus, Schneider, Sanofi, Renault…). L’entreprise basque a élargi son écosystème, notamment avec la commercialisation de sa nouvelle machine, la S300X, entièrement dédiée à l’impression silicone, et avec le lancement de sa propre gamme de matériaux.
« Le monde de l’industrie est en constante mutation. Il est important d’être réactif et d’avoir une approche plus durable et responsable en investissant dans des technologies 4.0. Le rôle de Lynxter est de répondre à ces évolutions économiques, stratégiques et écologiques en proposant une solution novatrice essentielle pour s’adapter aux enjeux actuels. La technologie proposée par l’entreprise vise à dynamiser la conception et l’innovation afin d’offrir des moyens de production agiles et flexibles tout en optimisant les ressources, autant humaines que matérielles. La performance globale est augmentée, la maintenance des produits est facilitée et l’efficacité des pièces est prouvée » précise la startup qui recrute encore une dizaine de personnes.
Informations sur le site internet de Lynxter
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