L’exercice d’une activité commerciale sur la voie publique, quelle qu’elle soit, est strictement réglementé et est soumis à autorisation.
Une tolérance existe pour permettre à des non professionnels de vendre des brins de muguet ce jour-là. Mais, cette pratique n’en demeure pas moins encadrée afin d’éviter une concurrence déloyale vis-à-vis des fleuristes professionnels.
Ainsi, la vente de muguet par des particuliers est admise sous certaines conditions. Elle est autorisée : le jour du 1er mai, s’il s’agit de muguet sauvage (non cultivé), sans adjonction de feuillage ou d’autres fleurs, sans emballage et sans contenant, sans utilisation d’installation fixe y compris une table.
La vente est interdite : l’avant-veille et veille du 1er mai ; si le muguet est raciné et en pot ; si d’autres fleurs sont ajoutées aux brins de muguet ; si le vendeur a choisi une installation fixe, à proximité d’un fleuriste (moins de 40 à 50 mètres selon arrêté municipal).
En cas de non-respect de ces règles, le vendeur risque une amende allant jusqu’à 300 €, ainsi que la saisie des plantes.

Commentaires
À lire aussi
PLAGES LANDAISESVers une surveillance tout au long de l’année
À compter du 1er octobre prochain, un dispositif inédit sera déployé pour assurer une présence active en dehors de la saison estivale, sur les rivages océaniques et intérieurs.
AMBITIONSNive Adour se muscle avec une zone d’activité et un village d’artisans
La commune de Villefranque est au cœur de ce projet qui veut contribuer à garantir un maillage équilibré du territoire en foncier économique public.
Réagissez à cet article
Vous devez être connecté(e) pour poster un commentaire