C’est ce qu’on appelle un self-made man. A tout juste 24 ans, Patrick Despagnet achète un tracto pelle et se lance dans divers chantiers. Trente-sept ans plus tard, à force de volonté et la pratique d’une certaine éthique des affaires, il dirige un groupe de 140 personnes qui intervient dans tous les aspects du bâtiment et des travaux publics et s’est également fait une réputation dans le recyclage des déchets et l’économie circulaire.
Ce succès professionnel et humain, Patrick Despagnet - qui a le premier soutenu la démarche de PresseLib’ - , il le doit en partie aux valeurs véhiculées par le monde du rugby dans lequel ce natif de Nay a baigné depuis son enfance. « Mon père, Jean-Joseph, a fait partie de l’équipe qui a remporté le Challenge Yves du Manoir en 1939 avec la Section Paloise. J’y pense très souvent ». Encore aujourd’hui, il porte toujours la médaille autour du cou.
Très tôt, il a compris la place essentielle de la dimension humaine dans les relations avec les autres. Il en a fait le fil rouge de la conduite de ses affaires. « Tout passe par l’implication des collaborateurs de l’entreprise et la relation de confiance indispensable en interne comme avec les clients. »
Une certaine idée de la solidarité guide également la marche de Patrick Despagnet. Depuis 2009, son entreprise toujours implantée à Arros de Nay, à proximité de Pau, Lourdes et Tarbes, est partenaire de l’ONG « Main dans la main avec l’Afrique » qui créée chaque année des kilomètres de réseaux d’adduction d’eau et des bornes fontaines afin d’alimenter des hameaux isolés du Sénégal.
Solidarité, attachement aux racines, rien d’étonnant que le Béarnais s’identifie pleinement à l’Homo Territorius. Fan de la première heure de PresseLib’, il a rejoint naturellement le Cercle des Aficionados pour accompagner cette démarche innovante.
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