Consacré aux musiques actuelles et à l’art contemporain, il veut « tisser des liens entre les différents médias et prouve au fil des ans que les frontières n’ont qu’une vocation, celle d’être brisées ». Le thème de l’année : le sabotage.
L’événement reste toujours aussi attachant grâce à l’implication efficace du collectif Moï Moï. « Pour faire danser la tête autant que les jambes, le nouveau programme d’échange, Radiobalea, pensé en parallèle des programmations artistiques, sera l’occasion de repousser une fois de plus les limites du festival et de prouver que fête et réflexion peuvent faire bon ménage ».
Le Baleapop met en valeur de nouveau talents, plutôt que de faire venir de grosses têtes d’affiches. Pendant ces journées, on dansera au milieu des installations d’art et on mangera des mets élevés au rang d’oeuvres.
Au menu, le fantasque Ariel Pink, le mystérieux Don’t Dj et sa house ésotérique, le projet inclassable The Mauskovic Dance Band, les hyperactifs Wolf Muller & Niklas Wandt, et Melenas, Jita Sensation, Satochi & Pam, ou encore Loisir.
« La Grande Bouffe, autre temps fort du festival, sera l’occasion, comme son nom l’indique de partager une grande bouffe entre amis, dans la tradition des fêtes de village au pays basque. C’est alors qu’on regarde autour de soi en s’amusant à penser qu’un événement peut-être pointu en oubliant d’être chiant ».
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