Éparpillées entre Toulouse, la Côte basque et les Landes, ces six voix soufflent un vent de fraîcheur, grâce à un répertoire inspiré des années folles : de Charles Trenet, The Andrew Sisters, les Pupinni Sisters à Elvis Presley... « La polyphonie apporte une atmosphère très spéciale. Une seule voix est formée par trois harmonies. C’est un exercice vocal qui demande beaucoup de technique », raconte Manon Blachot.
Installée à Bénesse-Maremne depuis trois ans pour goûter à la « dolce vita » landaise, Manon Blachot a grandi entourée de musique et de chant. Elle a suivi une formation dans une école de comédie musicale en Angleterre pour vivre de sa passion. « Quand j’étais à Montpellier, j’étais dans un girls band. En arrivant dans les Landes, j’ai voulu recréer cette atmosphère. J’ai passé des annonces sur des « sites de rencontres » pour artistes, mis des annonces sur Internet et ré
J’aime chanter pour donner du peps et le sourire aux personnes qui m’écoutent…
Sur scène depuis juillet 2021, le girls band a déjà plus d’une quarantaine de représentations à son actif. Les pétillantes chanteuses viennent de sortir leur premier album cet été, intitulé « La Popotte des Swing Cocottes ». « Il y a un fil rouge dans nos spectacles 100 % féminin qui vous emporte directement sur les routes du swing des années 1940 à aujourd’hui ! »
Elles ont créé des personnages hauts en couleur et de petites chorégraphies, en y ajoutant un soupçon d’humour. « J’aime chanter pour donner du peps et le sourire aux personnes qui m’écoutent, c’est très important pour moi. À travers notre spectacle, l’objectif est de retransmettre la liberté et la joie de vivre des années 1940 ».
Les Swing Cocottes se produisent dans le Sud-Ouest avec un spectacle autour de la cuisine, un sujet qui parle à tout le monde. Ces trois femmes se retrouvent pour cuisiner, mais vont rencontrer plusieurs difficultés et renverser les codes des hôtesses. Le 21 septembre, elles se produiront à Serres-Castet, le 25 à Castaignos Soulsens (40) et le 9 octobre à Parentis-en-Born, dans le cadre d’Octobre rose.
Noémie Besnard
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