Les premiers mois du deuxième mandat du chef de l’Etat sont marqués par la décision d’offrir des postes de prestige à des proches balayés par le suffrage universel, lors des dernières législatives.
C’est le cas d’Amélie de Montchalin, ancienne ministre de la Fonction publique, qui a été nommée ambassadrice auprès de l’OCDE (Organisation de coopération et de développement économique), un poste particulièrement convoité.
De son côté, Christophe Castaner, ancien ministre de l’Intérieur, s’est vu offrir le poste de président du conseil d’administration de la Société concessionnaire française pour la construction et l’exploitation du tunnel routier sous le Mont-Blanc ; il cumule avec la présidence du Conseil de surveillance du port de Fos-Marseille.
De son côté, Emmanuelle Wargon, ex-ministre du Logement, est devenue présidente de la Commission de régulation de l’énergie, tandis que Brigitte Bourguignon ancienne ministre de la Santé, se retrouve inspectrice générale des Affaires sociales.
Il faut rajouter la nomination de l’ancien premier ministre, Jean Castex, à la présidence de la RATP.
Ce ne sont que quelques exemples d’une très longue liste de parachutes dorés.
Réagissez à cet article
Vous devez être connecté(e) pour poster un commentaire