À Biarritz, quand le soleil disparaît, c’est la lumière qui prend le relais.
Le coup d’envoi a été donné au Jardin public pour seize nuits de féerie, au cours desquelles la lumière se déclinera jusqu’au 4 janvier le long d’un parcours en six escales, imaginées par des artistes malheureusement méconnus, pour révéler un Biarritz inédit, fantastique et enchanteur.
Ce qu’il faut savoir…
Nous en sommes déjà à la 9e édition de l’événement phare de l’hiver biarrot. Et pour l’occasion, la ville peut compter une fois encore sur les meilleurs concepteurs de lumière qui rivaliseront chacun sur un site.
Ainsi les Italiens de la compagnie de Cagna, qui ont investi le début du parcours, le kiosque du Jardin public pour le transformer en un dôme de 22 mètres de hauteur.
Étape suivante, la Villa des Rocailles, rue Moussempès, où les étudiants des BTS Photo et audiovisuel, accompagnés de ceux de l’École supérieure d’art, présentent un son et lumière d’une demi-heure.
Nous voici arrivés à l’Office de Tourisme, où officie pour la première fois Patrice Warrener qui y présentera six tableaux d’illumination polychrome. Le Casino, quant à lui, sera vêtu de bleu par Gilbert Moity, qui animera ses façades de 80 cercles lumineux.
Un peu plus loin, au Bellevue, place à un mapping vidéo, dû à l’imagination de Miguel Chevalier, avec un défilé de 60 tableaux pixélisés, qu’accompagnera la musique de Michel Redolfi.
Nous voici parvenus à la fin du périple, avec sur la façade de l’église Sainte-Eugénie un son et lumière dû à la graphiste Elodie Poidatz.
À Biarritz ou ailleurs, qui a dit que l’hiver devait être triste ?
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