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Nouvelle boutique pour les amateurs de fripes vintage à Orthez

Mélody Delmotte a ouvert il y a quelques semaines sa friperie spécialisée dans la mode vintage, rue Aristide-Briand. Cap sur les années 1960 à 2000 !
Mélody Delmotte, gérante de la friperie vintage Tatoum, à Orthez.
Autrefois considérées comme des lieux pour les plus démunis, les friperies connaissent un regain de popularité fulgurant.

En France, le marché des friperies est en plein essor. Selon une étude de l'Observatoire Natixis Payments, il a enregistré une hausse de plus de 140 % en 2021 par rapport à 2019. De plus en plus de friperies ouvrent leurs portes, et les grandes enseignes de prêt-à-porter commencent également à proposer des articles d'occasion.

Mélody Delmotte connaît bien cet univers. Dans les années 1980, sa mère tenait une friperie à Nîmes. « J’étais adolescente et ça a été une évidence pour moi. J’aime trouver des pièces originales, uniques qui ont marqué leur époque, avec une qualité supérieure à ce qu’on peut retrouver de nos jours », confie-t-elle.

Pour cette assistante en administration, les fripes sont longtemps restées une passion. Elle chinait des vêtements d’occasion dans les brocantes et les marchés. À 45 ans, Mélody Delmotte se reconvertie en passant un CAP couture et en créant un truck friperie en 2018. Un an plus tard, elle installe boutique de friperie dans le quartier Saint-Esprit, à Bayonne.

Sa vie personnelle l’a conduite à s’installer à Orthez, et son amour sa friperie l’a suivie. Depuis 15 jours, le magasin Tatoum propose ainsi une large gamme de vêtements vintage pour hommes et femmes, chinés ou achetés à des fournisseurs spécialisés. On y trouve aussi des accessoires et de la décoration.

« Il y a un changement notable dans les habitudes de consommation des gens. Un avant et après covid-19. Dans ma boutique de Bayonne, mes clients étaient surtout des personnes qui recherchaient un look en particulier et des pépites vintage. Aujourd’hui, je vois tous types de profils entrer dans ma boutique, de 14 à 80 ans », assure la pétillante gérante de 53 ans.

La gérante chine un peu partout dans les brocantes, sur les étals des marchés et auprès de fournisseurs spécialisés, afin de trouver des trésors. Mélody Delmotte les tris, nettoie et répare si besoin, avant de les mettre dans sa boutique.

À la recherche « de pièces qui ont marqué leur époque »

Mélody Delmotte connaît bien cet univers. Dans les années 1980, sa mère tenait une friperie à Nîmes. « J’étais adolescente et ça a été une évidence pour moi. J’aime trouver des pièces originales, uniques qui ont marqué leur époque, avec une qualité supérieure à ce qu’on peut retrouver de nos jours », confie-t-elle.

Pour cette assistante en administration, les fripes sont longtemps restées une passion. Elle chinait des vêtements d’occasion dans les brocantes et les marchés. À 45 ans, Mélody Delmotte se reconvertie en passant un CAP couture et en créant un truck friperie en 2018. Un an plus tard, elle installe boutique de friperie dans le quartier Saint-Esprit, à Bayonne.

Sa vie personnelle l’a conduite à s’installer à Orthez, et son amour sa friperie l’a suivie. Depuis 15 jours, le magasin Tatoum propose ainsi une large gamme de vêtements vintage pour hommes et femmes, chinés ou achetés à des fournisseurs spécialisés. On y trouve aussi des accessoires et de la décoration.

« Il y a un changement notable dans les habitudes de consommation des gens. Un avant et après covid-19. Dans ma boutique de Bayonne, mes clients étaient surtout des personnes qui recherchaient un look en particulier et des pépites vintage. Aujourd’hui, je vois tous types de profils entrer dans ma boutique, de 14 à 80 ans », assure la pétillante gérante de 53 ans.

La gérante chine un peu partout dans les brocantes, sur les étals des marchés et auprès de fournisseurs spécialisés, afin de trouver des trésors. Mélody Delmotte les tris, nettoie et répare si besoin, avant de les mettre dans sa boutique.

Une alternative plus responsable et accessible

Cet essor s’explique par diverses raisons : les friperies regorgent de vêtements uniques et originaux, souvent introuvables dans les magasins traditionnels. Cela permet aux clients de se démarquer et d'affirmer leur style personnel. La dimension économique est aussi une des raisons de cette tendance. En cette période d’inflation, c'est un atout important pour les personnes qui ont un budget serré ou qui recherchent de bonnes affaires.

La prise de conscience écologique chez les consommateurs joue un rôle également très important. En effet, l'industrie de la mode est l'une des plus polluantes au monde. Acheter des vêtements d'occasion est un geste éco-responsable qui permet de réduire son impact environnemental.

Les friperies sont de véritables alternatives pour une mode plus responsable, plus accessible et unique.

La friperie Tatoum est ouverte les mardis, mercredis, vendredis et samedis, de 10h à 12h30 et de 14h30 à 18h30. 

Noémie Besnard

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