Les premiers, nous vous avions annoncé dès février le pré programme de l’édition 2014 du Satiridax. Le voici désormais officiel et complété, et autant éclectique et créatif que prévu.
De vendredi à dimanche prochains, soit les trois soirs du week-end de la Pentecôte, voilà une affiche encore une fois bigarrée et un brin déjantée, comme il sied à ce Festival de la satire, se tenant au Parc des Arènes.
Musique et rire alterneront avec quelques belles têtes d’affiches qui annoncent un grand cru pour ce Satiradax IV.
Sur scène, donc…
Le vendredi 6 juin à 20h, The Inspector Cluzo, un duo montois fusionnant rock et métal, dont l’album « The French Bastards » s’est en mai 2010 classé au Japon avant Lady Gaga (et ce n’est pas un gag).
A 22h les membres style métal industriel de Punish Yourself, qui disent aimer le sexe, l’obscène, le rock, la peinture fluo et les stroboscopes et se définissent comme « cyberpunk-fluo-zombie ».
Et pour finir à 23h30 Sugar and Tigers, le nouveau groupe de Didier Wampas, qui vient de se roder en Thaïlande et au Cambodge, avec sa fiancée au chant, ses fils Arnold et Diego à la batterie et à la guitare.
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Le lendemain, samedi 7, à 20h30, viendra le tour des Tarbais de Boulevard des Airs (ci-contre), révélé dans l’émission de Patrick Sébastien avec « Cielo ciego », suivis du groupe Pigalle (fondé par François Hadji-Lazaro) qui présentera son album « T’inquiète » édité chez Saucissong Records, tout un programme !
Enfin le dimanche 8 à 19h, Irwap ouvrira les hostilités, suivi à 21h de Papa Style et une heure plus tard de Sinsemilla qui souhaitera aux Dacquois « tout le bonheur du monde ». Merci pour eux.
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Ça, c’est pour la musique. Car à côté, il se passera bien des choses, en particulier au Village satirique, accolé aux arènes, qui accueillera entre autres Corbier (ça va nous rajeunir), Sophie & Sophie et Bruno Solo, par ailleurs parrain de Satiridax (ci-contre).
Et surtout (en principe le vendredi à 18h), l’excellent Stéphane de Groodt. Rien que pour ce dernier, cela mérite le déplacement.
On se souvient encore de la tête de Nabilla, un tantinet perturbée, pauvrette, lors de l’un de ses sketchs. Un grand moment de télé !
N’oublions pas pour finir un débat sur la satire, avec Etienne Liebig, Yves Harté et Jean-Pierre Dorian et la présentation en avant-première des « Brèves de comptoir » adaptées au cinéma par Jean-Michel Ribes.
Le tout à de tous petits prix (10 euros par soirée, 20 pour le pass 3 soirs). Convaincus ?
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