Le premier objectif est de retrouver le niveau d’avant la pandémie : 150.000 curistes par an dans les 28 établissements de la région, contre 84.000 en 2021.L’impact est considérable quand on sait qu’un curiste génère environ 2.400 euros lors de son séjour, ce à quoi s’ajoute la valeur créée par un accompagnant. Le cluster s’est donné deux priorités : l’innovation et la santé.
Côté innovation, Aqui O Thermes mise sur la recherche de nouveaux services en milieu thermal comme : la thérapie digitale avec le masque de réalité virtuelle Bliss© pour réduire la douleur et l’anxiété ; ou Thermassist, la 1ère plateforme en ligne pour l’amélioration de l’accueil du curiste.
Concernant la santé, de nouveaux formats sont à l’étude comme : la cure fragmentée de 18 jours de soins pour les personnes exerçant une profession marquée par la pénibilité ; et le projet Prévichute, porté par la Fondation MAIF, pour prévenir le risque de chute.
La filière doit aussi faire face à un enjeu majeur : la formation et le recrutement de talents. Tous les métiers sont concernés (administratifs, personnels soignant, technicien) du niveau 5 au niveau Bac +5. « Nos activités génèrent près de 14 500 emplois directs ou indirects avec 2 226 personnes directement salariées dans les thermes. Un niveau supérieur à la moyenne nationale que nous devons maintenir pour soutenir nos ambitions à long terme ».
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