Nul ne l’ignore, la ville lumière du Guipuzcoa sera l’an prochain la capitale européenne de la culture.
Et nul ne l’ignore, entre Saint-Sébastien et le groupe de Thierry Malandain, c’est une belle histoire qui s’écrit jour après jour, ballet après ballet. Nul ne s’étonnera qu’il soit programmé pour cette occasion unique, qui devrait marquer l’année 2016.
Ce qu’il faut savoir…
Ce n’est pas la première fois que la troupe de Thierry Malandain se produit à Donostia. Les amateurs de ballets habitant de l’autre côté de la Bidassoa avaient déjà pu l’apprécier et l’applaudir sur « L’après midi d’un faune » (inspiré d’un poème de Stéphane Mallarmé, « Le spectre de la rose ») ou « La dernière chanson », sur les notes du Poème harmonique de Vincent Dumestre.
Sans oublier une remarquable prestation de « Roméo et Juliette » sur une musique d’Hector Berlioz, ou en novembre dernier les deux créations de « Estro », inspirée des pages du « Stabat Mater » et de l’ « Estro armonico Op.3 » d’Antonio Vivaldi, une partition qualifiée de « survitaminée », d’où son appellation d’est-ce-trop, ou Estro. Pas plus compliqué. Et de « Nocturnes » (musique de Chopin, bravo !), au Théâtre Victoria Eugenia.
Au programme les 1er et 2 août prochains une reprise de « Magnifique », puis les 5 et 6 août, de nouveau « Estro », tandis que « La Belle et la Bête », qui a été créée en collaboration avec l’Orchestre symphonique d’Euskadi, sera donnée en première mondiale au Kursaal en février 2016.
Une année qui s’annonce prolifique pour la culture, vue de Saint-Sébastien.
Réagissez à cet article
Vous devez être connecté(e) pour poster un commentaire