Les producteurs avaient lancé un financement participatif au printemps dernier, pour arriver à boucler le budget - en plus des aides et subventions - indispensable à la construction d’un nouveau couvoir. Car, jusqu’ici installé chez l’un des éleveurs d’Ibos, la mise aux normes drastiques du bâtiment, imposée depuis la grippe aviaire de 2017, s’était révélée impossible à réaliser sur place.
Ici, dans le strict respect des conditions sanitaires, les œufs seront mis en incubation, en attendant que les éleveurs ne viennent récupérer les poussins. Ils pourront alors prendre le temps de gambader en toute liberté, jusqu’à devenir de belles et fières poules noires à la chair ferme légèrement persillée, qui feront le régal des connaisseurs.
Informations sur le site de la poule noire d’Astarac-Bigorre
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