Pour nos industries, trouver de nouveaux débouchés est primordial. Il en va pour nos plus grosses entreprises comme pour les plus petites. C’est pourquoi les Fermiers Landais tournent désormais leur regard vers la restauration collective, un marché important et inexploité jusqu’alors.
Cela tombe bien, il est plus que jamais demandeur de produits de qualité.
Ce qu’il faut savoir…
Le nom des Fermiers Landais est synonyme de qualité. Créateurs de la filière Label Rouge en France, l’entreprise sise à Saint-Sever a été précurseur des volailles fermières élevées en liberté, avec un modèle économique unique, fait de tradition ancestrale et de moyens de production innovants.
C’est ainsi qu’elle a mis en place dès 1996 sa filière tracée non OGM, qu’elle a été certifiée ISO 9001 pour l’organisation, l’ISO 14001 pour son respect de l’environnement, avant son rachat en 2009 par Maïsadour. Aujourd’hui, elle abat 12,3 millions de volailles par an, soit 236.000 par semaine.
Naturellement, nous en avons tous eu sur notre table, tant les produits des Fermiers sont présents sur les gondoles des supermarchés, chez les bouchers, les charcutiers et les traiteurs.
Un marché jugé encore trop étroit pour ses dirigeants, qui regardent désormais en direction des collectivités, c’est-à-dire les cantines scolaires, les hôpitaux et les maisons de retraite.
Pas question de leur fournir des volailles de moindre qualité, mais des produits spécifiquement étudiés pour entrer dans leur cahier des charges, en respectant un poids idéal, à un prix particulièrement étudié, sans rien lâcher sur le goût. Là, on n’est plus dans l’achat impulsif.
Si l’opération menée dans le Grand Sud-ouest s’avère positive, avec déjà 124 nouveaux clients, il n’est pas exclu qu’elle soit étendue au plan national. On n’a pas fini de parler des Fermiers Landais.
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