Les nouvelles règles européennes prévoient la suppression, d’ici à 10 ans, des aides publiques aux aéroports et aux compagnies low-cost. Ryanair, qui a initié ces systèmes de financement des lignes (investissement, fonctionnement et aides marketing), est particulièrement visé.
Du coup, plusieurs petits aéroports régionaux dont l’activité repose essentiellement sur le trafic apporté par la compagnie irlandaise, pourraient être les premières victimes. C’est le cas, par exemple, de Tours, Poitiers, Carcassonne, Nîmes, Dinard… Mais d’autres aéroports de la région pourrait aussi souffrir, comme Biarritz, Pau et Tarbes-Lourdes.
Un délai devrait être cependant accordé pour éviter la catastrophe. La décision sera prise début 2014.
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