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Nouvelles notes de Sangria Gratuite : « Réveillons-nous ! »

Le groupe bigourdan sort un clip pour interpeller. Il annonce aussi une série de concerts et participera à plusieurs festivals dans la région.
Nouvelles notes de Sangria Gratuite : « Réveillons-nous ! »
Avec « Réveillons-nous ! », le trio propose un message positif et particulièrement dynamique à travers un voyage sonore remarquable et solaire.

Le groupe nous invite « à plonger au coeur de la vie, à embrasser la quête incessante de la réalisation de soi-même ». Il a choisi un thème évoquant « la force de la ténacité et la beauté de la réalisation de ses rêves. »
 
Face aux habitudes, Sangria Gratuite appelle donc à se réveiller, à aller au bout de ses aspirations, à laisse parler son cœur et sortant des idées reçues : un bel hymne à la vie et à la passion.
 
Les prochains rendez-vous  de Sangria Gratuite : Festival de Bandas à Condom (11 mai), Monassut-Audiracq en Béarn (24 mai), Lourdes (29 juin), Peyrehorade (2 août), Samatan (3 août), Argelès-Gazost (10 août), Nay (25 août), Bizanos (30 août) et Boucau (31 août).

Thomas Szczepanski

25 ans de passion

On ne présente plus le trio composé de David Epi (guitares, yukulélé, chant), Laurent Delpech (percussions, batterie, chant) et Pascal Gibeaux (basse, chant).
 
Au départ plutôt orienté vers des rythmiques Ska-Rock, leur musique a évolué en permanence avec des touches celtiques, exotiques et latino. Parmi leurs premiers grands succès : « Mon accent » et « La transhumance ».
 
A noter aussi : leur premier best of « La Kompilanou » (2012) ; l’album « Show bouillant » aux influences cubaines (2014) ; un clip sur la chanson « Baiona », tourné pendant les fêtes de Bayonne (2015) ; « Un eldorado » (2016) ; « Sangria Grat’8 » (2019) ; « J’ai rendez-vous » (2020) ; « Ma chance » et « Midi minuit » (2021).
 
Le groupe multiplie les succès, grâce à une recette bien établie : des trompettes et guitares à gogo, un accent du sud revendiqué et des textes sur la vie. Le résultat ? Des chansons entêtantes et entrainantes qui parlent à tous.
 
A lire - L’interview de Daniel Épi

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