Abonnez-vous
Publié le Mis à jour le
Créateurs et Passionnés

Frédéric Pelouze, Damien Couture et Weclaim

Ils sont Palois, mais c’est sur le Net que leur strat-up est en train de gagner sa réputation. Dénoncer un litige en quelques clics, il fallait y penser, ils l’ont fait !
weclaim 3
Déjà deux ans d’existence, 10.000 dossiers traités par an, et une grosse levée de fonds en cours…

Pourquoi vous parler de la plateforme Weclaim ? Son adresse, 5 rue Sextius Michel dans le 15ème à Paris ne fait pas très « enracinement Sud-Ouest » comme thème. Ah, n’allez pas chercher de litige, car c’est précisément de leur règlement que s’occupe Weclaim. Et comme ses créateurs, Frédéric Pelouze et Damien Couture sont Palois, vous voyez qu’il n’y a pas de raison d’en faire tout un drame.

D’ailleurs avec eux, tous les drames ou presque trouvent solution. Leur idée (de génie), vise à régler les litiges en douceur, et surtout en quelques clics. Pour tous ceux qui n’osaient pas se défendre, parce qu’ils avaient peur a) de ce que ça allait leur coûter, b) de se lancer dans des procédures sans fin pour ne rien gagner au final, sinon une énorme dépression, Weclaim change la donne.

Etape 1, vous démarrez votre procédure en ligne, et le système génère les documents juridiques nécessaires sans frais. Etape 2, en cas d’accord amiable, Weclaim est rémunéré à 25% des sommes que vous récupérez. S’il n’y a pas d’accord, alors rien à payer et le contentieux file devant un tribunal. Etape 3, le tribunal est saisi, et Weclaim s’occupe de l’assignation.

Last but non least, Weclaim propose une information juridique gratuite. Gratuite ? Un mot qu’habituellement on ne connaît pas dans l’univers juridique. Certainement, la raison pour laquelle ça va fort pour Weclaim. 10.000 dossiers par an, et une levée de fonds de plusieurs millions d’euros en cours.

Y a pas, sont fortiches nos Palois, hein… Non, non, ne nous assignez pas en justice pour ce jugement de valeur. On connaît Weclaim, hein ! Tremblez !

 

Commentaires


Réagissez à cet article

Vous devez être connecté(e) pour poster un commentaire

À lire aussi