Ceux qui évoqueraient ici de petite schizophrénie n'ont vraiment rien compris. Car non, on ne communique pas de la meilleure manière lorsqu'on parle de Béarn ou de Pays basque en matière de tourisme.
Si chacun dispose de ses atouts charme, de ses notoriétés, s'ils sont bien représentés par une seule et même entité avec le CDT 64 (Comité de Tourisme), il serait périlleux de les "vendre" de la même façon, car Biarritz par exemple ne se présente pas de la même façon que le stade d'Eaux-Vives de Pau.
Ce qu’il faut savoir…
Résultat, y compris sur leur site Internet, la scission est bien gérée, présentant d'un côté "L'instant Béarn" et de l'autre "Passez en mode basque". Une façon de démultiplier intelligemment la palette de possibilités sur la terre 64.
Ou de dire que, quel que soit le lieu de vos vacances dans les Pyrénées-Atlantiques, il existera toujours une attention soutenue à faire de votre séjour un moment inoubliable, de qualité. Agur-adishat's aussi aux petites bisbilles de jalousie entre les uns et les autres.
Pas une meilleure communication pour les uns ou les autres, un traitement de faveur inélégant, non tout le monde ici est traité de la même jolie façon, avec attention et bienveillance. Il en ressort que le territoire en entier ne manque pas d'atouts. Et qu'ils sont bien mis en valeur. Bravo !
Et puisqu'il y a deux chaînons touristiques bien distincts, c'est le nouveau président Max Brisson qui "conduit" la destination Biarritz-Pays basque tandis que le maire de Laás, Jacques Pédehontaá se consacre à Béarn-Pyrénées. Le tout avec le budget global du CDT, à hauteur de 3.2 millions d'euros.
Pays basque et Béarn, deux destinations pour un seul département, qui dit mieux ?
Clip Béarn
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