Ce festival, qui se tient cette année jusqu'au 21 septembre, c’est son directeur artistique Thierry Malandain qui en parle le mieux : « Inutile de bonimenter, de faire des pitreries et des cabrioles, à grand renfort de grosse caisse d’annoncer la femme-poisson, l’homme-obus et d’autres phénomènes comme devant une baraque foraine ; le Temps d’aimer, c’est tout simplement le temps d’ouvrir son cœur et ne plus s’occuper qu’à goûter le miel du plaisir. »
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Et cette année, l’affiche est une nouvelle fois somptueuse…
Après le Ballet Royal de Flandre et ses 46 danseurs en ouverture, on dégustera aujourd'hui La Coma, réunissant un ancien danseur étoile de l’Opéra de Paris, Jean Guizerix, et le jeune Michel Schweizer.
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Place à la sonorité du rock et à l’humour le lendemain, avec la Cie Vilcanota & les Blérots de R.A.V.E.L (tout est dit). Dune vraie folie jubilatoire.
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Le flamenco, ou du moins sa danse, sera présente le lundi 15 avec Mercedes Ruiz, sur « Baile de palabra » suivie le jour suivant de la Compagnie Dernière Minute et de Pierre Rigal dans « Standards », une pièce pour huit interprètes hip hop.
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N’oublions pas le 17 Claude Brumachon et le 18 la Cie Mad avec Sylvain Groud, sur « Bataille intime », un texte de Roland Topor, dans un duo danse – théâtre, qui précèdera « L’Oubli » interprété par le même Sylvain Groud et Agnès Canova.
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Et le 19, c’est le tour de la Cie de Danse Contemporaine Norvège et ses 14 danseurs sur une pièce du chorégraphe tibétain Sang Jijia.
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Nous en arrivons déjà au samedi 20, qui verra se produire la Cie Maryse Delente et au dernier jour du Festival, le dimanche 21 qui verra se produire en majesté Marie-Claude Pietragalla et Julien Derouault sur M. & Mme Rêve, un spectacle à la croisée de l’art, de la science et de la technologie. Succès assuré.
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Rien d’ahurissant pour les prix. Ils vont de 40 euros pour deux spectacles à 120 pour 10. De plus, des tarifs réduits existent ainsi qu’un tarif découverte. L’achat d’une formule se fait à la Gare du Midi.
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Informations sur le site Internet du festival.
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