Cela qui va avoir l’honneur d’inaugurer les planches à 21h est Erik Sitbon, accompagné de ses six musiciens du Ghost Band, lui qu’on a connu aux côtés de l’idole Car Perkins (Blue Suede Shoes), le copain d’Elvis et de Johnny Cash, The Stamps Quartet, The Broken Circle Breakdown ou Terry Mike Jeffrey. Deux heures plus tard, il sera suivi des garçons de Hambourg, Bun-Jon & The Big Jive qui se lanceront sur des airs de Louis Jordan, Nat King Cole ou Ray Charles, avec une règle d’or : vous faire voyager dans le monde du swing.
Le lendemain, vendredi 13, voici la texane Krystin Harris, connue pour sa puissance vocale, son swing de guitare et son yodle, pour lequel elle a reçu une récompense. De la pure country traditionnelle. Suivra le groupe Dead Bronco (qu’on adore), déjà détenteur de 3 albums et d’1 EP (In Hell, Penitent Man, Moaning the blues et Bedridden & Hellboung). Vous reconnaîtrez sans doute son leader, Matt Horan, il joue le rôle principal dans le thriller The Night Watchman.
Et, cocorico, le 14 juillet, après le défilé, on ne manquera pas le chanteur anglais Mike Sanchez, pianiste hors pair, au style Fats Domino mâtiné de Little Richard. Pas plus que le roi du rock n’roll en Russie, Denis Mazhukof, de retour à Mirande, le seul pianiste et chanteur de ce pays à jouer dans le style boogie-woogie et rock. Lui qui s’est produit avec le dieu Jerry Lee Lewis, qui l’a adoubé : « Denis, vous avez joué comme moi quand j’étais jeune… » Le tout se terminera le 15 avec la suédoise Vivien Searcy, qui a ouvré longtemps aux côtés de Charlie McCoy.
N’oublions pas le « Off », place Astarac, et à la Salle Beaudran, où se produiront une vingtaine de groupes, plus country les uns que les autres. Tandis qu’aux alentours, les animations seront nombreuses, avec camions américains, chevaux, belles carrosseries, cow-boys et indiens, archers, trikes et motos. Et tout le folklore artistique pour faire de vous un vrai natif du Tennessee, chapeaux, santiags. Ainsi harnaché, vous pourrez vous lancer dans des danses country (le soir, au gymnase, ou sur la place Astarac).
Elle est pas belle la vie ? Ah, on l’a déjà dit ? C’est qu’on le pense vraiment.
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