Avant, il a passé trente-trois ans dans la même boîte, le Groupe Sud-Ouest, où à force de ténacité (mais ce n’est pas un défaut), et aidé par des formations successives (merci Sud Ouest), Dominique Boyer a appris sur le terrain, d’Orthez à Angoulême, de Dax à …, l’art du marketing et de la vente et la manière d’être un bon meneur d’hommes.
Une progression irrésistible qui a transformé un jeune homme de 21 ans qui s’était engagé quatre ans plus tôt, à 17 ans, dans les Forces spéciales d’intervention d’outre mer et avait quitté l’armée sans trop quoi faire de sa vie. Le hasard, la chance (qu’il faut savoir saisir) lui ont permis de gravir les échelons d’un métier dont il n’avait aucune idée en entrant dans le groupe de presse. Il se souvient de cette longue période comme exigeante mais surtout « épanouissante ».
[caption id="attachment_106776" align="alignright" width="193"] Corinne Rueda, PresseLib'[/caption]
L’adjectif est d’autant mieux choisi que le caractère de Dominique Boyer, sa bonhommie, sa bonne humeur ne demandaient qu’à se réaliser dans une profession où la facilité de contact, la capacité à dérouler un projet, une bonne structuration de la pensée et des qualités pédagogiques sont indispensables.
En quittant le Groupe Sud Ouest en 2015, il a immédiatement fondé sa propre entreprise de consulting « Consult’in » avant que les deux François ne le convainquent de les rejoindre. « Une aventure d’hommes » dit-il. PresseLib’ ? « C’est le bébé de François L., François J. l’a adopté et j’en suis le tuteur ».
Dominique Boyer a mis toutes ses forces dans cette nouvelle bataille pour défendre et faire connaître la philosophie de PresseLib’. Un engagement sans durée déterminée.
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