Une permanence synonyme de réussite. Et l’occasion de nous intéresser à elle, et à lui. Lesbats Scieries d’Aquitaine sont situées sur la route de Dax, à Léon, et ont même ouvert un second site à Saint-Perdon, route de Bertheuil.
Leur prestation va de la production en amont, au tri, la transformation du bois et la livraison de produits bruts ou rabotés, tant pour la décoration, l’agencement, que pour la construction, la charpente, l’ossature bois, et même l’emballage.
C’est-à-dire à peu près tout ce que l’on demande au bois d’accomplir, depuis le parquet, le revêtement mural, le bois de charpente, les liteaux, les voliges ou les bardages. Pour les amateurs de chiffres, la scierie c’est 220.000 tonnes de grumes, 120.000 m3 de sciage, 40.000 m3 de séchage, 10.000 m3 de stock, 2 sites de production, 110 salariés et 24 millions de chiffre d’affaires.
Au milieu de tout cela, Paul Lesbats s’ébat avec aisance à la FIBA, la Fédération des industries du bois d’Aquitaine qu’il préside, qui se veut une force de propositions en préparant l’industrie de demain, en valorisant davantage la forêt, si durement touchée par les tempêtes de 1999 et de 2009, qui ont causé des pertes colossales. Pour cela, il a fallu dégager les aires, stocker les bois sous aspersion, les transporter, les nettoyer et replanter.
Ne restent debout que les plus forts et les plus inventifs, et la scierie de Léon est de ceux-là. La preuve, elle pourrait monter une nouvelle unité d’aboutage de bois sec, afin de mettre à disposition du consommateur un bois de construction de grande longueur.
Innover, c’est là aussi la clef du succès !
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