L’Eté à Pau se déroule jusqu’au 6 août, avec un total de 13 concerts gratuits au théâtre de Verdure, avec un repli éventuel vers le Parc des Expos en cas d’intempéries.
Après Charlie Winston et Ayo, c’est une programmation très variée qui est proposée cette semaine au public.
Ce qu’il faut savoir…
Mardi 28 juillet à 21h : Folklore du monde
Rendez-vous avec l'Ecole de musique et de danse de Thabisong (Afrique du Sud), le ballet russe Les aurores du printemps, et le groupe béarnais Lo Cèu de Pau.
Mercredi 29 juillet à 21h : cinéma et concert
En partenariat avec le Méliès, projection du film « Les Garçons et Guillaume, à table ! » de Guillaume Gallienne. Accompagné d’un concert du groupe Ni vu ni connu, soutenu par le Centre de musique actuelle La Gespe de Tarbes. NVNC propose un univers décalé et festif, distillé par des textes qui chantent la vie et ses déboires, toujours avec humour. Ces nouveaux venus de la chanson française titillent avec délice les oreilles et les mirettes d'un public toujours plus nombreux.
Jeudi 30 juillet à 21h : OM Unit
Depuis ses passages dans les festivals de grande renommée tel que le Sonar festival, James Coles aka OM Unit est un des artistes les plus cohérents de la sphère electronic beats / dubstep.
Jeudi 30 juillet à 22h15 : Dope D.O.D
Sombritude hip-hop et transe dubstep, Dope D.O.D (pour Duo Of Darkness) fonctionne en trio, intégrant dans un même projet les personnalités singulières de Jay Reaper, Skits Vicious et Dopey Rotten. Originaire également de Groningue rebaptisé G-Town, Dope D.O.D. est désormais une référence enviée des plateaux électroniques qui virulent.
Vendredi 31 juillet à 21h : Judah Warsky
Résolument tourné vers le futur et délesté de références, Judah Warsky est apparu en 2012 avec son 1er album, Painkillers and Alcohol, que la critique a salué sans parvenir à le rapprocher d'un quelconque courant musical. Pendant deux ans, toujours seul sur scène le corps en croix entre ses deux synthés-sampleurs, il écume les salles de France et les plus beaux théâtres de Paris en tête d'affiche ou sur des premières parties éclectiques avant de revenir en 2014 avec son 2ème disque, "Bruxelles"
Vendredi 31 juillet à 22h15 : Chapelier Fou
Louis Warinsky orchestre à lui tout seul une électro instrumentale entre guitare, violon, synthétiseur et sampler. Si l'on pouvait qualifier sa musique, ce serait sans le moindre doute de l'électro instrumentale : pas de voix, seulement un foisonnement de sonorités venues d'ailleurs. En petit chimiste, il distille les ondes et échantillonne les sons.
Réagissez à cet article
Vous devez être connecté(e) pour poster un commentaire