Ce n’est pas pour rien que de nombreux candidats parlent de stabiliser, voire de faire baisser, les impôts locaux. Un sondage de l’Ifop pour Ouest France confirme que la fiscalité sera un élément essentiel de motivation des votes les 23 et 30 mars prochains. Elle arrive largement en tête des questions qui vont « le plus compter » au moment de mettre le bulletin dans l’urne, pour 48% des sondés (+16% par rapport à septembre). Les impôts locaux sont prioritaires en ville comme à la campagne, ainsi que pour toutes les sensibilités politiques, à l’exception des écologistes (31%).
Viennent ensuite : le cadre de vie (32%, +13), la sécurité des biens et des personnes (28%, -2), l’emploi et le développement économique (24%, -6), l’éducation et les écoles (12%, -14), l’action sociale (6%, -11) et le logement (6%, -9).
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