Nous retiendrons donc que certains acronymes imprononçables sont pourtant d'une utilité profonde. Pas simple de dire "J'appelle la FEMDH". En entier, c'est mieux et plus clair : la Fédération pour l'Enseignement des Malades à Domicile et à l'Hôpital.
Dans le Sud-Ouest, ils sont présents de Bordeaux à Toulouse, mais aussi à Périgueux, Tarbes, Pau, et Bayonne. Pour les soutenir, rendez-vous sur le site de la Fondation EDF.
Ce qu’il faut savoir…
Créée en 1992, la FEMDH est agréée par le Ministère de l'Education Nationale et regroupe des associations dont l'engagement est d'assurer un enseignement gratuit aux enfants malades et accidentés.
Qu'ils soient à l'hôpital, à domicile ou dans les centres de rééducation, les associations les aident, bénévolement (vous avez bien lu !), par cours particuliers, à leur rythme, en tenant compte de leur état de fatigue, et en lien permanent tant avec les équipes soignantes que l'Education Nationale.
Le but ? Que l'enfant, malgré son état, demeure un "élève" et conserve le désir d'apprendre, en dépit de tout ce qu'il vit, avec l'espoir au bout du chemin, de reprendre un cursus scolaire normal.
Pour tout savoir d'eux : www.femdh.fr
Ils viennent également de se présenter aux Trophées EDF, mettant en avant la formation des enseignants aux TUICES, les Techniques Usuelles de l'Information et de la Communication dans l'Enseignement.
Si elles sont 727 associations inscrites cette année, 32 d'entre elles se partageront la somme de 400.000 euros.
Voilà qui ferait du beurre pour les épinards. Qui pourrait même faire les épinards tout seuls. C'est tout le bien que l'on souhaite à la FEMDH, si utile. Ce ne sont pas les enfants hospitalisés ou leurs parents qui vous diront le contraire !
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