Une mutualisation des moyens, des programmes harmonisés et la volonté d’amener au plus haut les 1.200 étudiants concernés, tels sont les buts que se sont fixé ses dirigeants, avec Delphine Etchepare à leur tête.
En fait, Delphine occupera toujours son bureau des Rocailles, où elle est installée depuis trois ans, tout en ayant la main sur l’ensemble, tandis que Frédéric Duprat, le patron de Bayonne, passera directeur-adjoint, en restant lui aussi en ses murs.
Le tandem entend mettre à profit les huit mois qui les séparent de la rentrée de septembre pour affiner son projet culturel, axé sur le social, le tout centré sur la sempiternelle question : l’art, ça sert à quoi ? D’ailleurs, est-ce que l’art doit « servir » ?
Le lancement de la fusée aura lieu pile poil avec l’inauguration de la 14ème Biennale de l’Ecole d’art de Bayonne, à la Cité des arts. Preuve de la future osmose, tout artiste invité à Biarritz le sera également à Bayonne.
On se souvient peut-être que l’an dernier, un rapprochement similaire avait eu lieu, entre l’Acba et l’EBABX, l’Ecole des Beaux-Arts de Bordeaux, les Rocailles ayant déjà signé un accord de même type.
Si tout cela permet l’éclosion de talents…
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