Aujourd’hui, les passages sont plus tardifs en raison des évolutions climatiques et de l’alimentation. Ainsi, nombre de palombes s’attardent dans les Landes pour profiter du maïs, voire y arrêtent leur migration.
Avec la Saint Luc, les paloumayres ont les yeux tournés vers le ciel en espérant d’innombrables vols du ramier bleu, parti des pays d’Europe du Nord pour rejoindre le Portugal. Du côté des cols pyrénéens comme dans les palombières du bassin Adour Gascogne, c’est l’effervescence.
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