« J’avais 11 ans quand mon père s’est lancé dans cette aventure, en 2001. J’ai passé mon adolescence dans ce camping et j’y ai passé les meilleures et les pires vacances de ma vie : tout y est plus intense, car on vit avec les vacanciers du matin au soir. Grâce à ses années, j’ai acquis assez tôt une indépendance. J’ai appris à m’ouvrir aux gens et j’ai eu la chance de rencontrer des personnes de la France entière », raconte Pauline Albino.
Des valeurs communes : la bienveillance, le partage, l’esprit de famille, de fête et de convivialité.
Pourtant, ce n’était pas gagné ! En effet, si la jeune femme de 33 ans se sent aujourd’hui accompagnée et soutenue au sein du réseau Les Vacances Camping Paradis (né en janvier 2020 pour créer des vacances immersives inspirées de la série Camping Paradis, diffusée sur TF1), elle était très réticente à l’idée de faire partie d’une franchise.
Après avoir étudié la gestion et le management, la jeune femme est partie travailler dans deux autres campings, à l’île de Ré et Bidart pendant deux ans. Elle gagne ainsi en expérience et en confiance avant de revenir en 2011 dans le camping familial et devenir le bras droit de son père.
C’est donc une rencontre fortuite qui a conduit le camping familial d’Espelette à se renouveler. « Je suis du genre discrète et indépendante. Je ne connaissais pas la série, car je ne regarde pas beaucoup la télévision. Mais ma compagne et une amie sont de vraies fans. Lorsqu’elles m’ont accompagné au Salon Atlantica à La Rochelle en octobre 2021, un stand de Camping Paradis était sur place et elles ont donné le contact de Biper Gorri pour s’amuser », explique Pauline Albino, la directrice du lieu;
« Lors de nos premiers échanges, j’avais peur de perdre l’ADN de mon camping. Mais je me suis aperçue que nous avions des valeurs communes : la bienveillance, le partage l’esprit de famille, de fête et de convivialité́. Ils ont été à l’écoute et ont laissé de la place à l’identité de Biper Gorri », souligne Pauline, qui a travaillé main dans la main avec son père pendant 10 ans avant de reprendre la tête du camping en avril dernier.
Des changements ont cependant été effectués : on retrouve ainsi la signalisation, des éléments de décoration ainsi qu’un programme d’animation labellisé Camping Paradis d’avril à septembre. Le tout ponctué bien évidemment de la fameuse Fiesta Boom Boom ! De quoi transporter les vacanciers dans l’ambiance de la série télévisée, proche de l’atmosphère originale du camping familial.
Autre nouveauté pour le camping familial basque : la formation des animateurs est à la charge de la marque, qui les forme pendant trois mois. Ceux-ci sont donc opérationnels dès leur arrivée (un gain de temps non négligeable !).
De la série au vrai camping
« Un camping, c’est comme un village : ce n’est pas toujours beau et facile. Même si elle est un peu idéalisée, la série de TF1 arrive à retranscrire l’ambiance et les émotions que l’on peut vivre dans un camping. Comme elle, nous avons plusieurs clients qui reviennent d’année en année et demandent le même emplacement et des clients très exigeants, qui me permettent de ne pas me reposer sur mes lauriers. Je retrouve même d’anciens amis de vacances de mon adolescence, qui viennent maintenant avec leurs enfants », affirme l’homologue de Tom Delormes (NDLR : le directeur du camping dans la série de TF1, interprété par Laurent Ournac).
Grâce à Camping Paradis, Biper Gorri est plus dynamique et au goût du jour.
De plus, le Camping Paradis Biper Gorri**** accueillera également cet été le Paradis des Stars, un événement à ne pas rater en haute saison : chaque semaine, des célébrités issues du monde de la télévision viendront à la rencontre des vacanciers pour des animations, concerts, spectacles...
« Certains de nos clients adorent la série, ils seront contents de retrouver des similitudes avec le célèbre camping de Martigues. Grâce à Camping Paradis, Biper Gorri est plus dynamique et au goût du jour ». De quoi réjouir les millions de téléspectateurs qui regardent régulièrement Camping Paradis en prime time sur TF1. L’histoire ne dit pas s’il y a un monsieur Parizot à Espelette…
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