Installé avec bonheur à Pau, le chargé de recherche au CNRS, travaille pour l’Institut des sciences analytiques et de physico-chimie pour l’environnement et les matériaux (Iprem), basé à la technopôle Hélioparc.
Un chercheur en polymères, déjà ça vous classe le bonhomme. Mais ce n’est pas tout, it’s not all, il a mis au point des panneaux photovoltaïques, 100% organiques et recyclables, légers, moins énergivores et last but non least, moins chers que les autres.
Il ne faut pas s’étonner, en conséquence, que sa trouvaille n’ait pas moisi longtemps au fond d’un tiroir mais ait trouvé au contraire la voie du succès ou du moins de la commercialisation de façon industrielle. Du coup, Roger va devoir se mettre à la langue de Goethe, car le premier marché de commercialisation vient d’Allemagne, et de la société Opvius.
Mais bien vite, c’est la langue de Molière qui prévaudra, et peut-être même celle de Phoebus, puisque la Communauté de Communes Adour-Madiran (CCAM) a déjà acheté 700 des panneaux Opvius équipés par Roger, vous suivez toujours ?
Et tout ce petit monde de se prendre à rêver : si ça marche, Opvius, l’Iprem de Roger et la CCAM envisagent même de créer un site de production à Sedze-Maubecq. Comment dit-on OMG en langage de chez nous ?
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