Dans plusieurs stations balnéaires landaises ces cabanes ont été obligées de plier bagage. Mais, suivant les endroits les situations sont très différentes. Ce qui pose problème et génère de multiples contestations, voire des levées de bouclier plus sérieuses.
En ce qui concerne les écoles de surf, il a notamment été mis en avant leur rôle en matière de sécurité. Ainsi, dans le cadre du programme Surf sentinelle, les écoles de surf assurent la surveillance des plages et interviennent pour des sauvetages. Certaines ont pu, pour le moment, rester sur la plage.
Pour la restauration, certaines municipalités ont contourné le problème en ouvrant de nouvelles concessions, à proximité immédiate de ces « espaces remarquables », souvent à peine un peu plus haut dans les dunes.
Quant aux cabanes de Seignosse et d’Hossegor, elles ont arraché de haute lutte un sursis de 3 ans. Des communes comme Mimizan et Lespecier seront obligés de fermer leurs cabanes de plage dès 2024. Pour Bisacarrosse, c’est plus compliqué en raison de l’absence de concession.
Affaires à suivre.
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