Newton, c’est le nom choisi par les promoteurs d’Hélioparc, en référence au mathématicien, physicien, alchimiste et astronome anglais, qui a établi les trois lois universelles du mouvement, pour désigner le futur bâtiment qui composera, d’ici un an, le douzième de la technopole du nord de Pau. La preuve tangible du dynamisme d’Hélioparc, accueillant aujourd’hui 125 entreprises et équipes de recherche, et où travaillent près de 1.100 salariés et chercheurs.
Près du lycée Saint-John Perse, c’est un bâtiment de 2.500 m2, sur trois étages, qui va être édifié, sur les plans des architectes Camborde & Larradet. Au rez-de-chaussée seront implantés les salles d’accueil et les locaux techniques, tandis que l’un des plateaux sera dévolu à l’entreprise de services informatiques Cap Gemini, actuellement installée à Hélioparc 1.
Les autres surfaces seront occupées par des entreprises spécialisées dans les nouvelles technologies de l’information et de la communication, les géosciences, les matériaux avancés et composites, l’environnement et l’énergie.
Pas de locaux vides à redouter, puisque chaque année, une trentaine de demandes de location parviennent sur le bureau des gestionnaires, et seulement une quinzaine voit leur demande acceptée, qu’elles soient en incubation, c’est-à-dire avant leur création, en pépinière ou pleinement en activité. Le succès est souvent au rendez-vous, puisque quatre entreprises sur cinq y pérennisent leur activité.
Le coût du bâtiment : 4,5 millions d’euros, pour lesquels on fera en partie appel à l’emprunt via la SEM, sachant que près d’un million a été sollicité auprès de la Région Aquitaine, le Conseil général, la Communauté d’agglomération et l’Europe.
Pau ville universitaire, on savait, mais plus que jamais une terre ouverte aux nouvelles technologies.
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