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Créateurs et Passionnés

Ainciart Bergara

L’atelier crée un makhila paré d’or et d’argent
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Certains vont penser qu’on ne sait plus quoi inventer mais en l’occurrence, l’initiative de l’Atelier Ainciart Bergara vient de faire preuve d’une sacrée créativité, en présentant un nouveau modèle de makhila, paré d’or et d’argent. Une édition limitée – étant donné son prix – qui devrait rapidement trouver preneurs. On les envie.

Ce qu’il faut savoir…

makhila2C’est à Paris que l’objet si prisé a été présenté, au Salon International du Patrimoine Culturel, où il a naturellement laissé personne indifférent, sans doute à cause de l’utilisation de l’argent 1er titre et d’anneaux d’or, s’inspirant de la joaillerie, une création qui a nécessité la réalisation de nouveaux poinçons et des dizaines d’heures de travail.

Comme le disent ses créateurs, « les contrastes mats et brillants du métal créent de véritables jeux de lumière, qui magnifient les parties en plaqué or, lisses et sans gravure. » Magique !

BERGARA MAKHILA MAGASINC’est à Larressore que depuis plus de deux cents ans l’Atelier Ainciart s’est spécialisé dans la fabrication du bâton le plus connu au monde. Aujourd’hui, ses artisans y travaillent bois de néflier, cuir et métaux, suivant des méthodes ancestrales, saluées par un titre de Meilleur Ouvrier de France en 1936 à Jean Bergara, pour la soudure parfaite du pommeau des makhilas d’honneur, qui ont été remises à des personnalités aussi diverses que Léon Zitrone, Charlie Chaplin, Ronald Reagan, Churchill, Michel Platini et à tous les présidents de la République, depuis Albert Lebrun.

BERGARA MAKHILA 4Au fait, si vous voulez vous procurer un exemplaire de cette édition limitée, tapez lourd dans votre portefeuille : il vous en coûtera 1.700 euros. Le prix d’un objet mythique, et en l’occurrence, unique ! Et ô combien précieux !

 

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