Désolé de casser l’ambiance, mais pour une fois, Presse Lib’ ne va pas livrer d’information positive.
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Notre festival préféré, le Satiradax, met la clef sous la porte, la municipalité ayant décidé de fermer le robinet du financement. Car les temps sont durs, un sou est un sou et la rigolade, c’est pas la priorité.
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Ce qu’il faut savoir…
N’accablons pas la Ville, car l’État baisse chaque année sa dotation, laissant les élus se dépatouiller avec toujours moins de ressources et toujours plus de demandes.
Et Satiradax coûtait tout de même bonbon, même si son budget de fonctionnement s’était réduit comme peau de chagrin, passant de 230.000 à 130.000 euros en quatre ans.
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Mais sans l’apport municipal, impossible d’aller plus loin, à moins d’imaginer un joyeux jamboree bordélique et inorganisé, qui aurait été trop éloigné du but des organisateurs et n’aurait pas attiré des têtes d’affiche comme celles des années précédentes, tels Stephane de Groodt, Guy Bedos, Daniel Prévost, Edouard Baer, Jean-Pierre Mocky, Christophe Alévêque, FX Demaison, Rémi Gaillard, l’équipe de Groland, les Wampas, ou Noël Godin.
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Disparu totalement, le Satiradax ? Ben, oui, mais non. Car une bonne idée ne meurt jamais. Fort de sa réputation et de sa fréquentation, le festival va aller satirer ailleurs qu’à Dax, avis aux villes de la région que ça intéresse.
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Comme quoi finalement, Presse Lib’ ne vous livre que des infos positives !
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