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    Le Gault & Millau va élire son Cuisinier de l’année

    Plusieurs chefs du bassin de l’Adour sont sur les rangs. Ils ont été mis à l’honneur à Biarritz
    GAULT MILLAU

    On ne le sait pas assez, mais avant de devenir le Cuisinier de l’année, c’est un peu comme Miss France, il faut passer par des étapes intermédiaires, des sélections.

    C’est ce qui ressort de la présentation à Biarritz du palmarès aquitain et midi-pyrénéen du Gault & Millau, en présence des heureux élus, avant l’attribution le 26 octobre du titre de Cuisinier 2016.

    Découvrez les chefs du bassin de l’Adour en course…

    gaultetmillau2renimelAnd the winner is… he is donc à choisir dans une liste regroupant les meilleurs des meilleurs de France. Avec pourquoi pas un restaurateur de notre région, puisque la revue vient de distinguer par trois toques et son Gault & Millau d’or Franck Renimel, qui officie à l’enseigne de « En marge », du côté d’Aureville, en Haute-Garonne. Un ancien de chez Guérard, de chez Cousseau, à Magescq et des frères Pourcel.

    BARDETLe titre de « grand de demain » va à Saint-Médard (Lot) chez Pascal Bardet, le chef du Gindreau, qui a fait ses classes durant 18 ans chez Ducasse, dont 5 ans comme chef de cuisine au Louis XV à Monaco.

    L'ANTRECelui de « jeune talent » à l’australien Luke Dolphin, de L’Antre, à Bidart ainsi qu’à Manuel Godet, de L’Empreinte, à Tarbes.

    D’autres catégories ont été distinguées : ainsi pour celle de l’espoir, c’est Tanguy Laviale, de Garopapilles, à Bordeaux ; pour la tradition, voici Michel Hiquet, de chez Mattin à Ciboure, tandis que côté pâtissier, la palme va aux trois petits prodiges de la Villa Eugénie, le restaurant de l’Hôtel du Palais, Alexandre Chersouly, Emmanuel Fromentin et Sylvain Gautier.

    KAIKUSans oublier celle accordée aux sommeliers, qui échoue à Pierre Colin, de chez Michel Sarran. Et même « l’accueil en salle » décernée à Philippe Arrambide, de l’hôtel Les Pyrénées, de Saint-Jean-Pied-de-Port.

    Enfin pour la « cuisine de la mer », c’est Nicolas Borambo, du Kaiku de Saint-Jean-de-Luz qui est mentionné. Naturellement, un coup de chapeau, enfin de toque, est tiré à Jean-Marie Gautier, inamovible chef de l’Hôtel du Palais, lauréat des « techniques d’excellence », ainsi qu’à Michel Guérard, pour la « transmission ».

    Résultat des courses au théâtre du Trianon, à Paris, le 26 octobre, pour le titre de Cuisinier de l’année 2016. Notre région part avec de sérieux atouts !

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