Des travaux en laboratoire ont révélé que cette mutation semblait capable de diminuer la reconnaissance du virus par les anticorps.
D’après des chercheurs sud-africains, le variant repéré « est largement résistant aux anticorps neutralisants, provoqués en réponse à une infection par des souches en circulation précédemment ». Le risque de réinfection par ce variant serait « important ».
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