Des vols entre Tarbes et Orly dès le 2 juillet
Le Conseil communautaire de Tarbes-Lourdes-Pyrénées a créé la surprise en annonçant que l’aéroport bigourdan verrait ses liaisons avec Paris reprendre très rapidement, alors que l’incertitude était totale. De plus, les liaisons se feront avec Orly, contrairement aux autres sites de la région qui ne desservent que Roissy. A partir du 2 juillet, il y aura une rotation par jour. En août, la fréquence doublera et en septembre 3 rotations quotidiennes seront assurées. Informations sur le site de l’aéroport, cliquez ici.
Ouverture de la frontière avec l’Espagne
Ce samedi minuit, la circulation redeviendra libre entre la France et la Péninsule ibérique. C’est à l’initiative de nos voisins que cette mesure a été accélérée et permettre de revenir à une vie plus normale entre le bassin de l’Adour, l’Euskadi, la Navarre et l’Aragon.
Les stades vont pouvoir accueillir 5.000 personnes
Le 11 juillet, il sera possible d’assister à des matches mais avec une jauge limitée à 5.000 spectateurs. C’est une première étape qui va permettre aux sports collectifs, qui seront autorisés dès lundi, de se relancer progressivement. Toujours à partir de lundi, les centres de vacances, les salles de sport et les casinos pourront reprendre leurs activités.
110 km/h sur l’autoroute, chaud le débat
Parmi les propositions décoiffantes que doit dévoiler ce dimanche la Convention citoyenne pour le climat, l'abaissement de la limitation de vitesse de 130 à 110 km/h sur autoroute fait déjà chauffer les réseaux sociaux avant même d’être confirmée. On se souvient que la réduction de la vitesse sur les routes à 80 km/h avait fait couler beaucoup d’encre, avant une marche arrière du gouvernement, renvoyant la patate chaude aux Départements. Ces derniers sont sensés pouvoir remonter à 90 km/h, mais dans des conditions compliquées. L’association 40 millions d’automobilistes a lancé une pétition en ligne nonaux110surautoroute.com
Bixente Lizarazu ambassadeur du sport à Radio France
Le champion du monde 1998 et champion d’Europe 2000 va animer une émission hebdomadaire sur France Bleu. Il sera aussi le spécialiste du football et l’ambassadeur du sport pour France Bleu, France Info et France Inter. Il « abordera un périmètre plus large » que le ballon rond dans la perspective des JO 2024. Cela n’empêchera pas le Basque de continuer de commenter des matches sur TF1 et de participer à l’émission Téléfoot. L’ancien international commentera une vingtaine de grandes affiches de Ligue 1 du dimanche soir, avec Grégoire Margotton, sur la future chaîne du groupe Mediapro.
Un parquet d’avant-garde pour Basket Landes
Ce revêtement sportif démontable a été installé à l’Espace François Mitterrand à Mont de Marsan, ce vendredi. Il est homologué par la Fédération Internationale pour les compétitions au plus haut niveau, et va constituer un atout majeur pour la Ville dans sa candidature comme centre de préparation aux Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024. Ce parquet offre les meilleures performances avec une absorption de choc record de 67%. De quoi changer la vie des joueuses en limitant sensiblement les risques de blessures. L’investissement est couvert par la Ville de Mont de Marsan (80%) et par le Conseil départemental (20%).
CIRCa reprend ses résidences d’artistes à Auch
Le Pôle national du cirque reprend ses activités et va accueillir cinq compagnies jusqu’à fin juillet, dont Sacekripa et L’envolée cirque. La programmation 2020-2021 doit être présentée la semaine prochaine, tandis que le Festival international sera dévoilé à la fin du mois. Informations sur le site internet, cliquez ici
La ganaderia Dargelos réduit son élevage de coursayres
Avec l’annulation de toutes les courses de vaches landaises pour l’été, les éleveurs se retrouvent en grande difficulté. C’est le cas d’Henri Tilhet à Saint-Sever qui a été obligé, à contre-cœur, d’abattre dix de ses bêtes pour sauver son cheptel en attendant la reprise des spectacles tauromachiques. C’est toute la culture des courses landaises qui est en péril. Informations sur le site internet, cliquez ici
Une majorité de parents défavorables au retour à l’école
Alors que le président de la République a annoncé une reprise obligatoire de l’école (maternelles, primaires et collèges), ce lundi 22 juin, les Français sont loin d’être convaincus. Selon un sondage Odoxa-Dentsu Consulting, réalisé pour France Info et Le Figaro, cette reprise est rejetée par 56% des Français, par 59 % des parents ayant un (des) enfant(s) scolarisé(s) et surtout par 70% des parents n’ayant pas encore remis leurs enfants à l’école. Cette décision mécontente les catégories populaires (64% des ouvriers et employés) et des Français les plus modestes (66%) alors qu’elle est au contraire majoritairement approuvée par les cadres (55%) et les personnes les plus aisées (62%). Seulement, 45% des parents envisagent de renvoyer leur enfant à l’école. Verdict lundi.
287 millions d’euros de fraude à la Sécu
Selon la Caisse nationale d’assurance maladie (Cnam), l’essentiel du préjudice enregistré en 2019 ne vient pas d’un abus au niveau des 59 millions de cartes Vitale en service. La fraude proviendrait essentiellement des professionnels et des établissements de santé (ils apprécieront !). Dans 51 % des cas, la fraude est commise par des assurés, mais cela ne représente que 21% du montant total. La Cnam dit avoir repéré des groupes organisés agissant en ligne pour proposer des faux arrêts de travail ou pour facturer des médicaments à la Cnam qui sont ensuite revendus à l’étranger.
Un train libertin qui fait du bruit
Dans les Pyrénées-Orientales, un mystérieux entrepreneur avait lancé un voyage pour le moins surprenant, ce samedi 20 juin : 5 heures dans « Le train des plaisirs », de nuit, avec 28 passagers. Il comptait ainsi louer une rame et la privatiser, mais l’aventure est tombée à l’eau. Cette initiative a beaucoup fait causer dans la région.
Une vague de faillites à la rentrée
C’est l’inquiétude exprimée par l’Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE) qui prévoit une hausse de près de 80% du nombre d’entreprises en cessation de paiement : « des niveaux de défaillances sans précédent ». Les simulations de l’impact de la pandémie sur la solvabilité des entreprises, réalisées à partir d’un échantillon d’un million de sociétés tricolores, donnent le vertige. Le taux de défaillance (avec des fonds propres négatifs) pourrait être de 3,2% cette année, au lieu de 1,8%. « Ces chiffres semblent petits, mais en fait ça fait passer le nombre de défaillances d’entreprises d’à peu près 55.000 à 95.000, donc c’est une hausse substantielle et inédite », a commenté le président de l’OFCE. L’organisation estime que les faillites entraîneront potentiellement 250.000 suppressions de postes, d’autant plus que la reprise économique s’annonce très progressive et inégale selon les secteurs. Les microentreprises et les grandes entreprises apparaissent plus vulnérables que les PME et les ETI.
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