Premier événement ce dimanche de 9 à 13h, à la Pierre-Saint-Martin. Une ascension plutôt compliquée si on n’est pas trop en forme, puisqu’elle est l’un des rares cols à proposer 7 montées différentes, sur 26 km.
À commencer par le plateau de Chousse, à effectuer en danseuse sur ses 600 m à 15 %, pas mieux avec les grimpettes du col du Soudet, de Labays, avant d’aborder la dernière rampe, que les amateurs qualifient « d’assassine », à 12% sur 600 m et le faux plat menant au col frontière de la Pierre-Saint-Martin. Le départ s’effectue à Arette, à une vingtaine de kilomètres d’Oloron-Sainte-Marie.
Trois autres événements suivront ce premier rendez-vous : le premier le samedi 21 juillet, avec l’ascension du col du Soulor… de nuit, puisque de 19h30 à minuit. Une montée de 12 km, à partir d’Asson, avec le mythe à portée de roues. L’ambiance nocturne en fera certainement l’un des grands moments vélocipédiques de l’année.
Attention : l’éclairage avant-arrière (200 lumen environ) est obligatoire, tout comme le gilet jaune fluo pour la descente. Celle-ci s’effectuera par groupe de 20 ou 30, avec un accompagnant à l’avant, muni d’un éclairage puissant.
Le 26 août, tout le monde se retrouvera du côté d’Ahusquy, avec une montée par Aussurucq et le col de Bagargui. Et le 9 septembre, on s’attaquera à l’Aubisque, à 1709m d’altitude, depuis Laruns, pour un grand classique du Tour de France, avec une rampe de 4-5 % jusqu’aux Eaux-Bonnes, puis des pentes sérieuses jusqu’à Gourette (souvent à 8 %, avec petit plateau et grands pignons de rigueur) et enfin, au pied des pics de Ger et de Médaa, les derniers kilomètres à 9%...
Précisons qu’une inscription préalable est recommandée, que le port du casque est obligatoire et que – ouf ! – des ravitaillements sont prévus tout au long des montées. Conclusion : y’a pas que le foot dans la vie !
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