Publié le 12 mars 2023 à 20h05Mis à jour le 22 mai 2023 à 14h46

1500 COUPS DE POUCE, vu par… François Lafitte

Le président de la Chambre de commerce et d’industrie des Landes s’associe pleinement à cette démarche qui est « vitale, essentielle ».

COUP DE CŒUR – La saga mondiale du kiwi depuis les rives de l’Adour

Pendant cette période de lancement des 1500 COUPS DE POUCE, PresseLib’ donne la parole différentes personnalités, comme François Lafitte, également chef d’entreprise à la tête de la SCAAP Kiwifruits de France.

Comment ressentez-vous cette démarche ?
François Lafitte – Mettre en avant des jeunes pousses ou des TPE et PME qui portent des projets afin de se pérenniser ou de se développer, est excellent. Tous ceux qui entreprennent le savent, les obstacles sont nombreux à chaque étape de la vie d’une entreprise. Il est donc particulièrement précieux de se sentir accompagné et soutenu. D’autant plus que le contexte actuel n’est pas toujours facile, surtout pour les petites et moyennes activités. J’apprécie cette initiative de PresseLib’ qui contribue à encourager tous ceux qui entreprennent.

Que peuvent apporter les coups de pouce ?
F. L. – Avant tout mieux faire connaître une multitude d’acteurs de notre territoire, qu’ils soient industriels, commerçants ou dans le secteur des services. La mise en valeur de leur activité auprès d’un large public, mais aussi de la dimension humaine de leur entreprise, est le premier coup de pouce à leur donner. C’est une manière efficace de compléter les différents accompagnements assurés par la CCI. Je pense que l’une des valeurs ajoutées de cette approche est de donner de nombreux exemples dont chacun peut s’inspirer. C’est l’occasion de découvrir des femmes et des hommes aussi passionnés que courageux, constituant une grande richesse pour notre territoire.

Votre avis sur le volet participatif ?
F. L. – D’abord, tout initiative qui contribue à casser les barrières, entre le monde de l’entreprise et le public, est à encourager. Les coups de pouce ont le mérite de mettre en évidence des petites et moyennes activités qui sont proches de chacun. C’est une opportunité de mieux découvrir des aventures entrepreneuriales profondément humaines, et de comprendre leur vécu avec les bons comme les mauvais moments. Le fait d’associer les différents secteurs d’activité, les industriels et les agriculteurs, les services et l’artisanat, les commerçants et les associations est une ouverture judicieuse. Cela permet de mieux mesurer que chacun peut entreprendre à sa manière, à sa dimension, et que chacun peut être ainsi un acteur utile à son territoire. Il est intéressant de proposer aux lecteurs de participer, et de donner leurs coups de pouce personnels aux entrepreneurs. Ne serait-ce qu’en leur apportant des encouragements directs pour casser la solitude du chef d’entreprise.