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A DROITELe Parti Populaire remporte les élections locales et régionales en Espagne

C’est un revers sérieux pour le premier ministre socialiste Pedro Sánchez, qui a décidé de dissoudre le Parlement et de procéder à la convocation d’élections générales.
5 A DROITE – Le Parti Populaire remporte les élections locales et régionales’est un revers sérieux pour le premier ministre socialiste Pedro Sánchez, qui pourrait perdre le pouvoir aux législatives en fin d’année. Alberto Núñez Feijóo, leader de l’opposition de droite, pourrait lui succéder.   Le PP a remporté six des dix régions jusqu’alors entre les mains du PSOE ou d’une coalition de gauche. C’est le cas notamment de l’Aragon. Plusieurs grandes villes ont également placé la droite en tête comme Barcelone et Séville.  ’est un revers sérieux pour le premier ministre socialiste Pedro Sánchez, qui pourrait perdre le pouvoir aux législatives en fin d’année. Alberto Núñez Feijóo, leader de l’opposition de droite, pourrait lui succéder.   Le PP a remporté six des dix régions jusqu’alors entre les mains du PSOE ou d’une coalition de gauche. C’est le cas notamment de l’Aragon. Plusieurs grandes villes ont également placé la droite en tête comme Barcelone et Séville.

Alberto Núñez Feijóo, leader de l’opposition de droite, est sur les rangs pour lui succéder. Mais, le Parti populaire pourrait avoir besoin de Vox, le parti d’extrême droite. Comme il devra la faire pour gouverner dans plusieurs villes et régions, après le dernier scrutin.

Le PP a remporté six des dix régions jusqu’alors entre les mains du PSOE ou d’une coalition de gauche. C’est le cas notamment de l’Aragon. Plusieurs grandes villes ont également placé la droite en tête comme Barcelone, Valence et Séville.

Les élections législatives auront lieu le 23 juillet, pendant la présidence espagnole du Conseil européen, a précisé le chef du gouvernement socialiste, au pouvoir depuis 2018. Il a déclaré assumer les mauvais résultats de son parti et vouloir « soumettre notre mandat démocratique à la volonté populaire ». Les tensions entre le PSOE et Podemos (extrême gauche) expliquent aussi ce revers électoral.

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