Le tribunal met en avant le principe de précaution et le « risque d’atteinte grave et irréversible que l’arrêté peut porter aux espèces de lamproie marine et de grande alose, dont il est établi qu’elles sont particulièrement fragiles… »
Face à cette décision, des associations de pêcheurs professionnels en eau douce ont exprimé leur incompréhension sur la manière de procéder ; ils considèrent aussi qu’il y a une discrimination par rapport aux pêcheurs à la ligne.
Affaire à suivre.
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