Son territoire s’organisait autour de cinq composantes : Auch et l’Agglomération Auscitaine, l’Astarac, l’Armagnac, la Lomagne et le Savès-Toulousain.
De la même façon, c’est autour de 5 axes que se précisaient ses objectifs : construire un projet de territoire cohérent et partagé, assurer le développement harmonieux de chacune des cinq composantes territoriales précédemment énoncées, conforter la solidarité et la cohésion, affirmer l’identité gersoise, et promouvoir un développement maîtrisé et durable.
Du bla-bla ? On a pu juger que non avec la conférence tenue au Mouzon, une première officielle du Scot, devant un parterre de quelque 140 élus. Une première rencontre qui, selon Elisabeth Dupuy-Mitterrand, la présidente du Scot de Gascogne, a rassemblé et tenu sa promesse de redonner la parole « aux acteurs du territoires, élus et citoyens pour les prochaines années. »
Ici, c’est d’avenir que l’on parle. Quel Gers dans les domaines de la ruralité, de l’énergie, des déplacements, de l’économie, pour demain ? Pas question de compétition, mais plutôt de synergies. La volonté de la France est au rassemblement ? Celle du SCot du Gers aussi.
Vive demain !
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